AGONE
Périodicité : revue semestrielle
Prix de vente : 85 F
Création : 1990
Tirage : 1500 ex.
Site internet : http://www.lisez.com/agone
S'inscrivant
dans le renouveau de l'édition engagée, la
production des éditions Agone s'attache à
nourrir les thèmes qui agitent notre présent :
nos choix de société, qui engagent la responsabilité
de ceux en mesure de faire naître un questionnement dans
la conscience du plus grand nombre. L'idéal d'un
engagement éditorial n'est pas de défendre
une thèse mais de fournir les éléments
d'une réflexion en vue de sa discussion. Situation
sans laquelle il n'est de décision publique prise
en connaissance des causes et des conséquences, principe
au fondement de toute démocratie digne de ce nom.
Philosophie, Critique & Littérature
Collection "Contre-feux". Résistance culturelle,
critiques sociale & politique.
Collection "Marginales". Littérature
Agone Editeur : Domaine
du Terras BP 2326 F-13213 Marseille cedex 02
Tél. 04 91 54 84 32 - 33 84 15
Distribution
:
Les Belles Lettres 95, Bld Raspail, 75006 Paris
Tél. 01 44 39 84 20 - Fax. 01 45 44 92 88
Comité
de direction :
Michel Barrillon, Thierry Discepolo, Jacques Luzi, Jacques Vialle.
Comité
de rédaction :
Michel Barrillon, Frédéric Cotton, Thierry Discepolo, Jacques
Luzi Cristel Portes, Pascal Poyet, Jacques Vialle, Béatrice
Vincent.
Email
: agone@lisez.com
Tél. : [33] (0)4 9133 84 15 - Rép/fax : [33] (0)4
91 54 84 32
CUVERVILLE
Périodicité : Mensuelle (sur papier recyclé)
Format : A4, N&B.
Pas de pub. Pas de subvention.
Prix de vente : 10F
Diffusion : Antenne locale de la NMPP
Equipe : Une dizaine de rédacteurs + quelques bonnes
surprises de temps en temps. Uniquement des bénévoles
(du maquettiste à la comptable).
"Cuverville"
est une statue sise sur le port de Toulon, la représentation
d'un génie de la mer qui scrute l'horizon, d'où
ce surnom populaire. Comble de bonheur, l'actuelle municipalit'
a pris bien soin de repositionner l'ouvrage devant la mairie,
et peut contempler chaque jour un derrière emblématique
et bronzé. Né comme une réaction à
l'élection de Le Chevallier, Cuverville (le journal)
a rapidement étendu le débat. Nous envisageons
aujourd'hui une OPA sur Lagardère, afin de racheter
la presse locale, et développer insidieusement dans la
population une idéologie réfractaire au port de
la cravate chez les élus, au port du képi chez
les militaires, au port de la combinaison anti-radiations
chez les ouvriers de la rade, au port du masque à oxygène
chez les cyclistes, et au port de l'étiquette politique
chez les gangsters. Vous l'aurez compris, Cuverville est
un journal de mode.
Cuverville : BP 506 83054 Toulon
Cedex
GOLIAS
MAGAZINE
Périodicité : revue bimestrielle
Format : Pas de pub.
Prix de vente : 50F
Création : 1985
Tirage : 12 à 15 000 ex. (8000 abonnés)
Diffusion : abonnements, librairies, grande maison de la presse.
Equipe : une douzaine de personnes
Golias
est un magazine d'investigation au carrefour du politique
et du religieux. A sa création, Golias magazine est édité
par une association : "les Goliards réunis".
Le tirage est de 150 exemplaires photocopiés. Pendant
cinq ans, la revue est surtout diffusée en Rhône-Alpes
et accroît peu à peu le nombre de ses abonnés.
En 1990, le succès rencontré par la publication
du premier "trombinoscope des évêques"
(10 000 exemplaires vendus) lui donne une notoriété
nationale. Progressivement, le travail d'investigation réalisé
par Golias en fait une revue de référence. En
1994, se mettent en place les éditions Golias. La vente
des livres se fait d'abord en direction des abonné:s
faute d'un réseau de diffusion. A partir de mars
1997, cette nouvelle société d'éditions
s'est attachée à développer une politique
commerciale offensive sur deux axes : l'augmentation des
abonnés à la revue Golias et l'élargissement
de son offre éditoriale. Un contrat a été
signé depuis avec le diffuseur Vilo. En 1997, une société
de presse est créée : Golias SARL. Depuis 1998,
les efforts ont porté sur le développement de
la vente de la revue Golias en kiosque et sur la recherche de
nouvelles orientations éditoriales.
Golias magazine :
BP 3045 69605 Villeurbanne Cedex
LA
LETTRE A LULU
Périodicité : Irrégulomadaire (environ
tous les deux mois)
Format : 12 pages, 21x29,7, N&B
Prix de vente : 10F
Création : 19 décembre 1995 (350 ex.)
Tirage : 3000 ex.
Diffusion 35 kiosques à Nantes et agglomération,
Saint-Nazaire et un peu en Vendée.
Equipe : 4 rédacteurs, 5 dessinateurs, 1 infographiste,
1 producteur, 1 comptable, tous bénévoles
Site internet : http://www.multimania.com/luluzima
La
"Lettre à Lulu" a été lancée
comme un défi "sans suite" de presse satirique
locale. Notre modèle : le Canard enchaîné,
en appliquant (modestement !) la recette à l'échelon
locale (Loire-Atlantique et Vendée). Conçu comme
un anti-produit marchand : pas de promo, pas de date de
sortie fiable, pas de réclame, pas de "super-cadeau
privilège avantageux" aux abonnés (type radio-réveil-moissonneuse-batteuse),
qui payent le même tarif que les autres. Pas d'enjeu
financier, les seuls coûts étant les frais de production,
pas de bénéfices non plus qui sont systématiquement
"bus" dans une à deux fêtes annuelles offertes
aux lecteurs (punch gratos, musique, danse, débats...).
Nous encourageons le piratage par photocopie du journal.
Style
: satirique.
Indépendance totale des pouvoirs politiques, économiques,
financiers, religieux, libres penseurs, sportifs, culturels...
Nos thèmes de prédilection : les dysfonctionnements
de notre jolie société, sectes, gourous et curés,
argent public bazardé par les fenêtres ou dans
certaines poches, démocratie approximative dans les petites
communes, urbanisme spéculatif, négationnistes,
révisionnistes, bretons amnésiques, patrons foireux,
dérapages de justice, embrouilles notariales, méchanceté
d'huissiers, coulisses de la presse locale faux-cul bénis,
radioactivité discrète, magouilles d'hypermarchés,
sans oublier "les petites" histoires des petites gens
qui s'en prennent plein la tronche.
Un risque : l'institutionnalisation, le journal est très
très très lu dans les cabinets et autres couloirs
des collectivités territoriales. Deux procès pour
l'automne. Le plus étonnant, c'est qu'en
quatre ans nous n'en ayons pas eu d'autres auparavant.
La Lettre à Lulu : BP 48603 44186
Nantes cedex 4.
L'Ours : Robert
Cavalier, producteur. ƒcriveurs : Nicolas de la Casinière, pigiste-stagiaire
adjoint Georges Courtois, Grand reporter au palais : ƒric Chalmel,
chronique demi-mondaine. Dessineux : La Case, dessineux en chef
; Yves Magne, dessineux tout court ; Tanq, dessineur de portrait
; Frap, censuré. Metteuse en page papier entre autres : Nathalie
Brodin, soi-même Metteuse en web internactique-webiste :
Rachel Collard, ex-immigrée.
ABONNEZ-Y VOUS SI Z'ÊTES CAP
!
10 numéros, 100 F chèque à l'ordre de :
LA LUTTRE Ë LEULEU B.P. 48603 44186 NANTES CEDEX 4
« Ben, pourquoi je m'abonnerais ? T'es déjà
sur le web ? !! » « STOP !
Sur le web, tu liras toujours Lulu bien après que les
abonnés l'aient reçu dans leur p'tite boîte
aux lettres perso et toute chaude sortie de la DOCU TECH ! NA ! »
E-mail :
luluzimail@calva.net
Tél. : 06 85 81 77 98.
Fax : 02 40 73 25 64.
L'OEIL
ELECTRIQUE
Périodicité : Bimestrielle
Prix de vente : 25F
Création : juin 97
Tirage : 50 000 ex.
Diffusion : NMPP
Equipe : association
Site internet : http://www.multimania/oeil.com
L'il
électrique, publié par l'association rennaise
"Les éditions électriques", est un magazine
bimestriel qui revendique le fait d'être collectif
et interactif. Le contenu du magazine s'étoffe et
évolue au gré des propositions des lecteurs et
curieux : il s'agit, à la modeste échelle
de l'association, d'offrir aux personnes qui le souhaitent
de s'exprimer dans un support de presse élaboré
et diffusé nationalement par une structure à but
non lucratif, hors du cadre professionnel du journalisme et
loin des "milieux autorisés". Les éditions
électriques reprennent volontiers à leur compte
la maxime des réseaux d'échange de savoir
: "Personne ne sait tout mais tout le monde sait quelque
chose". Il s'agit d'allier ouverture d'esprit
et exigence éditoriale. L'oeil électrique
revendique par là même son éclectisme de
thèmes : la création artistique, l'économie,
le voyage, la politique, etc. sont autant de domaines variés
qui nourrissent, dans la réalité, des interactions
complexes. C'est pourquoi le magazine tente de ne pas en
donner un reflet compartimenté et donc simpliste. Créé
en juin 97, les trois premiers numéros ont été
diffusés localement (sur Rennes et Nantes principalement)
en dépôt-vente chez les buralistes et libraires
de bon aloi. Depuis octobre 98, avec le numéro 4, L'oeil
électrique est diffusé nationalement en kiosque
par le biais des NMPP.
Les
Éditions Électriques :
BP 7536. 35075 Rennes Cedex 3
LE
PASSANT ORDINAIRE
Périodicité : Bimestrielle
Prix de vente : 20F
Création : 1994
Tirage : 2000 - 2500 ex.
Site internet : http://perso.wanadoo.fr/passant.ordinaire/
L'association
"Le Passant Ordinaire" édite une revue bimestrielle
où se côtoient littératures, essais et photographies.
Cette revue compte aujourd'hui plus de six mille lecteurs
réguliers et plus de mille cinq cents abonnés
(dont les deux tiers hors de la région Aquitaine). Le
Passant Ordinaire s'appuie sur un réseau, baptisé
Faims de Siècle , qui réunit des intellectuels,
des écrivains, des chercheurs, des universitaires, des
journalistes et des artistes (photographes et plasticiens).
En 1996, sont nées les éditions du Passant, structurées
autour de trois collections : Faims de siècle, L'homme
en marche et Poches de résistance. Cette association
organise aussi très régulièrement des manifestations
culturelles. En mai 1998, elle a créé son site
internet qui permet d'accéder à l'ensemble
de ses publications ainsi qu'au fond photographique de l'Agence
du Passant créée autour de ses photographes. Les
photographes et plasticiens, membres de la rédaction
de la revue viennent de fonder l'Agence du Passant, destinée
à promouvoir leurs images, et à permettre d'autres
rencontres de création autour de leur travail.
Le
Passant Ordinaire est une tribune libre ouverte au plus grand
nombre.
Le style est littéraire, le ton incisif, signant l'un
et l'autre notre présence au monde.
Il est un espace animé par des artisans des différents
chantiers de la pensée (du philosophe au journaliste,
du sociologue au juge d'instruction, du psychanalyste au
mathématicien...). Ces personnalités
engagées dans la vie civile désirent mettre en
commun, croiser et confronter leurs regards sur les processus
à l'oeuvre dans nos sociétés.
Le
Passant Ordinaire :
Maison du combattant, 22-24, rue du XI-novembre 33130 Bègles
E-mail :
passant.ordinaire@wanadoo.fr
Tél. : 33 (0)5 57 35 19 24
Fax : 33 (0)5 57 35 19 25 /19 26
SATIRICON
Périodicité : Trimestriel
Format : 12 pages, bichro, papier journal
Prix de vente : 10F
Création : mai 1995
Tirage : 6000 ex.
Diffusion : kiosques, à la criée et dans quelques
lieux "alternatifs" toulousains.
Satiricon,
"lou journal des mémés qui aiment la castagne",
se présente volontiers et sans modestie excessive comme
"le Canard enchaîné" toulousain. La maquette
et la présentation (imprimé en noir et rouge)
s'inspirent d'ailleurs sans vergogne de son illustre
aîné national. Fondé à la veille des municipales
de 1995 par Pierre Samson, dessinateur de presse à Toulouse,
ce journal satirique est réalisé par des journalistes
du crû, rédacteurs et dessinateurs, avec la complicité
de certains dessinateurs "parisiens" pour les illustrations.
Tout le monde est bénévole à Satiricon,
même si la plupart des collaborateurs sont des journalistes
professionnels, dûment "encartés". A noter
que les collaborateurs toulousains sont contraints de travailler
sous pseudo. Tenter de deviner qui se cache derrière
ces signatures est mêeme devenu un jeu à la mode
dans l'establishment toulousain, voire une obsession pour
certains... Dominique Baudis, le député
maire de Toulouse, a contribué involontairement au succès
du Satiricon en tentant de le tuer dès le premier numéro
par un procès en diffamation. Mais le vilain petit canard
toulousain est toujours là, il vient de sortir son 18ème
numéro et refuse toujours de se faire gaver.
Satiricon
: BP
03 31098 Toulouse Cedex
LA
VACHE FOLLE
Périodicité : Bimestriel
Format : 24 pages, 148x420, bichro, papier recyclé
Prix de vente : 10 balles le steak (pas de pub)
Création : 1994
Tirage : 2000 ex.
Diffusion : kiosques (en Région parisienne), librairies,
abonnements et à la criée.
Equipe : rédacteurs, dessinateurs tous bénévoles
Site Internet : http://www.lavachefolle.org
Plus
drôle que Le Monde Diplomatique, Plus de pages que Le
Canard Enchaîné, Plus élancé que
Charlie Hebdo, Plus "in" que L'Almanach Vermont,
Plus indépendant que Le Journal Officiel, Plus écolo
que Le Chasseur Français, Plus féministe que Le
Figaro Madame, Plus facile à prononcer que Die Frankfurter
Algemeine Zeitung, Plus tactile que le Ouaibe, Plus facile à
transporter que les Pages Jaunes, Plus tendance que Paris Boum
Boum, Plus de gauche que Libé, Plus de plus : le mieux
de la presse, Pour seulement 10 francs !
La Vache Folle est un journal d'informations généraliste
et satirique, mais c'est aussi un journal graphique avec
un format original et un peu de couleur.
La Vache Folle s'attache à donner autant de sens
et d'importance à son langage visuel qu'à
son contenu rédactionnel.
Un
style : politiquement j't'emmerde sur 20, 24 voire 28
pages de reportages, d'investigations, d'analyses et
de notes de lecture sur des sujets divers.
Depuis sa création, La Vache Folle a donc fait le pari,
sans se prendre au sérieux, de donner de la nouvelle
herbe à mâcher à ses lecteurs, peu relayée
par la presse classique. Le ton corrosif n'est pas le fruit
du hasard.
La
Vache Folle :
B.P. 72, 75522 Paris Cedex 11.
E-mail :
lavachefolle@hotmail.com
Tél.
: 01 43 55 07 05.
Abonnement 1 an : 50F.
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